La version 2019 R1 de l’offre Ansys arrive sur le marché de la simulation numérique. Une mise à jour qui répond aux problématiques fortes de l’industrie manufacturière : électrification et autonomie des véhicules, multiplication des objets connectés, jumeaux numériques, mais également la diffusion de la fabrication additive.
De quoi parle-t-on aujourd’hui dans une bonne part des bureaux d’études de l’industrie manufacturière ? Dans le secteur automobile, c’est la conduite autonome et l’électrification des véhicules, à la fois pour leur motorisation et pour tous les services à bord dont bien sûr la gestion des équipements de pilotage automatique (Adas). L’internet des objets, bien sûr, et ceci pour quasiment tous secteurs d’activité, qu’ils produisent des produits grand public ou professionnels. Le jumeau numérique, et notamment son dernier niveau de représentation c’est-à-dire le double opérationnel temps réel de l’objet réel, est également un enjeu fort notamment pour tous les services d’exploitation des produits, lignes de fabrication, bâtiments et même ensembles urbains. Enfin, la fabrication additive n’en finit pas de remuer les esprits. Le potentiel est énorme en termes de modifications des organisations industrielles et d’allègement des produits.
Point commun de toutes ces tendances, l’indispensable simulation numérique pour en maîtriser la mise en oeuvre. La version majeure 2019 R1 de l’offre Ansys tente d’y répondre point par point. Avec notamment l’optimisation de l’ergonomie utilisateur dans l’outil de CFD Fluent, l’amélioration de la précision dans Additive Suite, l’intégration des outils Speos et VRXperience issus du rachat de l’éditeur français Optis, ou encore la disponibilité d’un nouveau module Motion pour la simulation dynamique multicorps. Revue de détail…
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