La fabrication additive à haute énergie permet d’obtenir des pièces en métal ou en céramique, mais son industrialisation reste lente en raison de nombreux verrous technologiques et scientifiques. Douze laboratoires associés au CNRS, un de l’ENS Paris-Saclay et un département de l’Onera créent un Groupement d’intérêt scientifique dédié, le GIS Head, afin de les faire sauter.
L’impression 3D, née au début des années 80 pour obtenir rapidement des pièces prototypes en résines polymères afin de valider des concepts en cours d’étude, a connu de multiples évolutions jusqu’à devenir aujourd’hui une technologie de production en série de pièces bonne matière. Mais reste que les procédés […]