La bio-impression est l’un des débouchés possible des techniques d’impression 3D en y ajoutant l’aspect du vivant. A la place de la matière inerte, on utilise des cellules que l’on dépose couche après couche. L’entreprise américaine Biolife4D a par exemple imprimé un cœur miniature fonctionnel doté de ventricules et de cavités. De la taille d’un cœur de souris, ce prototype marque un pas de plus vers la production d’un cœur viable pour une greffe humaine. Avec à la clé l’élimination du rejet pour les patients. La société explique qu’elle a développé une bio-encre en utilisant une composition unique de différents composés de la matrice extracellulaire qui reproduisent fidèlement les propriétés du cœur des mammifères.
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