Depuis la fusion en décembre 2020 de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler, le groupe automobile français s’appelle Stellantis et devient le quatrième groupe automobile mondial. Sa stratégie est claire : investir 30 milliards d’euros d’ici 2025 dans l’électrification de ses véhicules et l’intégration de logiciels. Son usine de Tremery que nous avons pu visiter à l’occasion d’un évènement organisé par notre groupe de presse fabrique les moteurs électriques de tous les véhicules du groupe. A son démarrage en 2019 la ligne de production sortait 120 000 moteurs électriques par an. En décembre 2020, malgré la crise sanitaire, la cadence est montée à 180 000. Et une seconde ligne en cours de montage devrait porter cette capacité à 480 000 moteurs fin de cette année. Le constructeur annonce par ailleurs la mise en place d’une troisième usine de fabrication de batteries en Italie, après celles en cours de chantier à Douvrin (Pas-de-Calais) et en Allemagne à Kaiserslautern. L’objectif annoncé est de construire pas moins de cinq usines de fabrication de batteries en Europe et en Amérique du Nord.
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