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PLM RÉTICULÉ : UN PLM ALLÉGÉ, RÉSILIENT, RÉACTIF… « POST COVID-19 »

Pour les industriels, la crise sanitaire a révélé l’intérêt d’un PLM allégé, résilient, favorisant la réactivité pour résister à de tels chocs, voire devenir plus efficient en temps normal. Pour cela, le cabinet de conseil en management Mews Partners plaide pour l’adoption d’un « PLM réticulé ». Explications…

C’est une lapalissade : les crises ont de tout temps permis aux organisations humaines de progresser en s’appuyant sur les leçons du passé. La pandémie du Coronavirus ne fait pas exception. Après avoir pansé ses plaies, l’industrie manufacturière doit intégrer de nouvelles habitudes de travail qui perdureront sans aucun doute dans les années à venir. Une organisation qui s’appuie sur un PLM :

  • Fonctionnant à distance et résistant aux chocs.
  • Fonctionnant bureaux fermés, en réseau.
  • Intégrant les dispositifs de sécurité, d’authentification, les licences logicielles et des fonctions cloud pour un travail à domicile.
  • Permettant de découper un produit en sous-ensembles traitables indépendamment les uns des autres, ceci pour fonctionner en mode dégradé et parallèle, le cas échéant. Cela induit une ingénierie système, la définition des interfaces entre ces sous-systèmes et des données matures. Mais également de structurer ces données pour limiter la dépendance entre disciplines (mécanique, hydraulique, logiciels, électronique…), et ceci sur les différentes phases du cycle de vie.

« Nous avons là les briques essentielles d’un PLM résilient » explique Denis Debaecker, Partner chez Mews Partners. On peut ainsi dégager six tendances fortes qui vont modeler l’ingénierie de demain :

  • Modularisation des produits.
  • Digitalisation des processus.
  • Définitions des interfaces entre processus/métiers (qui attend quoi et de qui ?).
  • Continuité numérique.
  • Architecture cloud et logiciel PLM payé à l’usage.
  • Mise en place d’une sémantique au travers de modules.

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